Dans mes déambulations campagnardes, j’avoue avoir un faible pour les fouillis de branchages, ronces et autres. Lorsque vient l’hiver, les arbres en se dénudant peu à peu laissent entrevoir leur gracile squelette où s’accrochent encore quelques feuilles rebelles.Parfois, entre la branche délicate et la ronce tentaculaire, se noue une histoire inextricable, où l’une et l’autre s’entrelacent, dans un joli méli-mélo, formant une sorte de rideau de dentelle, au travers duquel on peut entrevoir, en contraste singulier, la blancheur nue des prés.
Je puise très souvent mon inspiration dans ces tableaux naturels. Cela aiguise en particulier mon goût pour la finesse des détails, au point que j’utilise des pinceaux de plus en plus fins (ce qui finira un jour par poser problème pour mes yeux fatigués…).
elles sont superbes !!!! j’adore !!!!!
je veux les mêmes à la maison !!!
la Gaga
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Merci ma petite Gaga, et pour ce qui est d’avoir les mêmes, ( ou celles-là…) pas de problème…
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coucou
un méli mélo charmant tout en douceur on en redemande des couleurs tendres que tu sais si bien mélanger j’adore bon weekend bises mado
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Bon week end à toi aussi Mado !
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quelle délicatesse et quelle beauté dans ce rendu! c’est magnifique, isabelle!
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Et quelle gentillesse dans tes mots Malyloup !
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waouh j’avoue que je suis transportée dans tes paysages, ils semblent irréels et féérique, bravo, je suis hyper fan. patraque depuis vendredi, j’ai squatté mon canapé pour récupérer d’où mon absence sur la blogo, cela va mieux ce matin, même si ce n’est pas top, même pas envie de peindre, ni de lire, juste ne rien faire. bises.celine
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Il y a des moments où il faut savoir écouter son corps… l’envie et le plaisir de peindre ne sont sûrement pas loin te connaissant. Et quand on est juste bon pour le canapé, cela peut être le bon moment pour aller découvrir d’autres univers que le sien. Moi c’est souvent ce que je fais dans ces situations là. Et puis l’avantage de mes paysages neigeux, c’est qu’on peut les regarder sans prendre froid 😉…
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Je me pose la même question… du plus petit au plus petit jusqu’où pourrons-nous aller !… le plus petit des petits avec une loupe… ! Et les heures qui vont avec. Ça me rassure de n’être pas seule dans ce cas ! Belle journée à vous !
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Pour moi qui porte des lunettes en permanence, ce souci du petit détail trahit peut-être la peur de ne plus voir assez bien avec le temps qui passe …
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LOL ! Tout pareil !!! Et j’ai, quand je peins, un besoin d’y voir impérieux ! Il m’arrive de regarder à la loupe ! En même temps si je ne m’abuse, Salvador Dalì peignait à la loupe !
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